Les mouvements de population,
Jusqu'au milieu du XIX siècle, de nombreux habitants de la commune émigraient temporairement dans le midi Languedocien, exerçant surtout les métiers de faucheur, moissonneur, ou scieur de long . Dans la seconde moitié du siècle, ils prirent l'habitude de monter à Paris . La colonie des habitants d'Aurelle Verlac composée en partie de bougnats limonadiers devint assez importante au début du siècle pour que la constitution d'une amicale fût possible, et elle fût créée en 1926 . Le village d'Aurelle Verlac reste cependant particulièrement attaché à la fondation de Piguë, la grande colonie aveyronnaise d'Argentine . La tradition locale rapporte que les villages auraient été désertés en 1884 au profit de la pampa .
Quelques années avant l'aventure argentine, la commune comptait 1029 habitants, en 1962 plus que 325, et aujourd'hui 182 . Les divers flux migratoires, la guerre de 14,18, et les nouvelles normes de production de l'élevage maintenant seule activité firent le reste.